Le temps des banderilles
(extrait Puzzle-série 2- pièces mobiles)
Après le temps des cerises — sans relation avec la demoiselle de la pub qui nous assure de son efficacité commerciale — et du gai rossignol, voici venu le temps de l’ire et des chants patriotiques du merle moqueur et des banderilles — alors que la marée monte, au galop climatique et hystérique, la mariée est en noir et il s’en faut (en mode grande faucheuse du tarot) de peu pour qu’elle sente le sapin (le comble, c’est que le bois manque dans le bâtiment et la pénurie gronde !) et la mort dans l’âme du peuple en proie à son cycle karmique — ; car notre gouvernement toréador, un brin piqûre oh man ! à l’esprit loose Tryo, nous fredonne avec son timbre de frelon noir — en s’étant (ça tend vers le ridicule !) mis la tête à l’envers par abus de coke dans son acide café, nous identifiant avec sa reconnaissance bestiale à de vilains Pokémons — des sornettes d’alouette ; et il souhaite que nous perdions la raison, afin que nous offrions notre corps à son occulte science !
Ainsi, son « Projet Beurk Witch » est de nous faire passer sous les fourches caudines, avec un beau billet sanitaire en prime, à deux doigts — qui coupent la faim — de nous transformer en un passe-plat dans les soirées de Baphomet encorné de la dame de pique Abramovic au bord d’une satanique marina.
Lors, inutile de mettre les pieds dans le plat de la dualité qui fout le dawa dans la conscience collective sur les voies de son expansion…
Chacun a l’illusion d’un choix qui doit être respecté ; par conséquent, les Lois de l’Amour Universel prennent tous leurs sens ! Nul n’est à blâmer ! Nous pouvons, à cœur de lion, assumer nos responsabilités et accompagner la liberté d’expression d’autrui !
Cependant, les joyeux drilles — sous leur habit de Minotaure zélé — de la république bananière semblent frappés par la tremblante du mouton, la caustique peste rhétorique du moustique tigre et, par tous les moyens d’un imaginaire détraqué, telles des marionnettes — héroïnes rituelles d’un « Lucifer à battre froid tant qu’il est show » — manipulées par des entités prédatrices qui se jouent des émotions des hommes qui les nourrissent en ignorant leur propre énergie Source — ils désirent nous planter d’amères épines dans la chair, de la plus tannée à la plus rose bonbon !
Ainsi, ces matadors écailleux, à la langue de vipère, du label zébu te veulent des misères ! Ils forment le funeste dessein de nous percer à jour puisqu’ils ont l’obsession de nous pénétrer, avec violence, en toute préméditation, par la narine, avec un bâtonnet de test PCR qui vaut pipette, ou une aiguille serpentine prête à nous mettre le diable au corps et la fièvre aphteuse dans le sang. Une brève histoire de contrôle des masses, sous hypnose prophylactique !
J’ai donc l’envie folle de leur murmurer : « Pic et pic et colégram, ce sera toi qui t’inoculeras le produit létal en premier et j’irai loin des sombres bois où le loup (de Wall Street ou de Big Pharma) y est déjà, se léchant les babines sur un rouge tapis de mafieuse monnaie. » Ô dantesque cinéma qui lui vaut, d’or rage et d’encens hydroalcoolique, la palme de l’horreur !
Restons donc, en notre centre, tous debout et sereins, loin du chant des sirènes, pâles crécelles, de ces pompiers pyromanes, de ces voix d’enfer médiatiques toujours promptes à jeter de l’huile sur le feu, soufflant le chaud sur les tisons de la haine, afin de voir grandir le démon intérieur, la peur viscérale et l’insécurité maladive qui contaminent les esprits.
Chaque coup politique ressemble à une initiatique épreuve que traverse le Padawan que nous sommes. Ce temps alchimique, au sein de l’athanor terrestre, nous invite à la maîtrise de Soi, à la Solidarité, à l’Altérité, à la Joie d’offrir le meilleur de notre Essence à notre prochain, échappant aux tourbillons égotiques pour entrer, en souverain, au cœur de la thébaïde de l’Être ! Que votre Volonté soit, au-delà du dédale ! Nous ne sommes pas un numéro, le pion au ballon prisonnier de leur idiot jeu de Lois !
Stéphane, le 17.07.2021
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