Ô Val Lit !
(Alcior 2 -fragments étranges)
À Vali
Ô val lit de ton essence où l’aval lit la Puissance de l’onde, le courant « Trinity* » dans lequel la voix veloutée de Vali plonge, en humeur d’aquarelliste sirène, avec un pinceau voyageur sur une mer d’huile où son corps sait colorer la Poésie pastel qui « dance with me* » !
Alors, chaque goutte de son nectar polychrome goûte au vol de la forme qui se manifeste au-delà des voiles qui vrillent, sous les yeux de ces âmes prises dans la grande « Hypnosis* », ce psychédélique contrôle des masses !
Sous le signe safrané de sa florale recrue des sens, les volutes agiles de sa Volonté sont — par un subtil effet Mère, en divine volupté — prêtes à ensemencer les terres rares unies à la précieuse fragrance d’éther.
Ainsi, elle va libérer les saisons hypersensibles de leur gangue astrale par l’alchimique souffle d’une Reconnaissance, de sa reconnexion d’Essence et des sens, sous le sceau d’azur d’une sage décence vers l’ascension de son dessein intérieur caressant le « Sun* » d’un mistral moderato…
Ici, Vali volète aux quatre éléments ; elle vaticine à l’aurore en suivant les spirales de Fibonacci d’une architecture holographique esquissant son Inspiration palatine — pistes aériennes, sillons valeureux sur la platine d’un D.J. rit doux des sphères qui surfe sur la céleste expression de son ADN quantique jusqu’au point zéro d’une lyrique expansion solaire !
Que Vali s’élève en Elle pour toucher ses nues musiciennes, le bleu des vallées de sa christique transcendance !
Stéphane, le 27.07.22
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Un messager du Sud Ouest ;) Cricri hiihihiiiii (dimanche, 07 août 2022 14:46)
"L'été Vali"
Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une montagne un peu comme celle-ci
C'était un été, un été où il faisait très très chaud
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Ariège
Là-bas on l'appelle l'été Vali
Mais c'était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue tu ressemblais
A une aquarelle énergétique
Et je me souviens, je me souviens très bien
De ce que je t'ai dit ce matin-là
Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été Vali
Bien à vous deux ;)
Stéphane L'Émerveilleur (dimanche, 07 août 2022 15:30)
L'Anachronique est ravi de lire le poème-chanson de Christianuk, en Indien estival, qui remplace le gant de boxe par la plume aérienne, afin d'honorer l'Amie Vali avec un vers à Lui ! Plénitude aux Quatre Fantastiques ! D'un cœur solaire, Stéphane
Delphinuk (lundi, 08 août 2022)
Coucou Grand Architecte de la poésie alchimico-burlesque ;)
Quel bel et émouvant hommage à Déesse Vali-Hator
La vibration particulière de la voix du poète en dit long sur les sentiments purs, courtois, respectueux et bienveillants qu'il émet envers sa Déesse.
Il ne manquait plus que de publier cette magnifique dédicace demain, le 9 août - Saint A.... !
Superbe cadeau ! Combien de femme souhaiteraient recevoir quelques mots écrits à la plume du cœur de son élu !?
Belle journée à vous 2
Je vous embrasse de cœur à cœur
Stéphane L'Émerveilleur (mardi, 09 août 2022 08:48)
Coucou, chère Sœuruk Delphinuk,
L'Anachronique accueille, avec Bonheur, le Verbe Soie de la Femme Solaire qui inonde l'espace de son Amour Sacré tel celui de Vali ! Plénitude à Toi et aux Quatre Fantastiques ! D'un cœur solaire, Stéphane