Philippe K. Dick ou l’art de la bitte d’amas rage 

Philippe K. Dick ou l’art de la bitte d’amas rage

 

(Puzzle série 4 - pièces mobiles) 

 

 L’Anachronique a attendu que les braises diaboliques de la « serre aime Homme honni » des zoos olympiques retombent pour cuisiner les gogos de la gaudriole planifiée.

 

Ainsi, un cyborg cavalier apocalyptique a traversé la Seine afin d’y mettre le feu et d’ajouter une merde de plus dans une eau bouillante déjà engorgée d’énergies à la noirceur insondable en accord avec le show caca oh ! de YaYa — la Reina granola du playback in black — qui adore se gratter l’entrejambe, certainement en quête d’un petit asticot pour pêcher de gros mulets sur la scène…

 

Alors, la diva « Black Sabbath » a passé brillamment le relai à Céline Fion, l’écho sonar des abysses sales, poussant, sur son trône de fer, un hymne funèbre à l’amour qui a dû faire pleurer dans les crades gradins et les chaumières incendiées…

 

Sans oublier la flamme satanique dans l’œil unique de la Lady complètement Gaga, la tata Yoyo, en stuc et en plumes, évoquant, sans zèle, le volatile rose, le poisson volant, un poison violent, Nemo qui a gagné l’Urovision !

 

En outre, il a été difficile d’occulter l’envoi de jeunes âmes vers les catacombes, ces corps candides jetés sur une barque traversant le fleuve sanguin de l’Achéron et la révolution du Death Metal aux fenêtres d’un château de vampires cannibales, amateurs de spirit cooking, duquel sort la tête coupée d’une Marie-Antoinette, alouette ! Une rétrospective historique aux airs de train fantôme tirant le trident métallurgique d’un escape game !

 

Et la fête à nœuds-nœuds, aux allures d’orgie de goudous palatines, est devenue plus fofolle encore grâce à une chorégraphie millimétrée, à une couille près, de la Cène accouplée avec une bacchanale grotesque réservée aux fétichistes des femmes à barbe, du « va porc wave ! » et de l’évaporation sexuelle à la sauce salsa du démon, à la limite d’une asphyxie induite par un bondage sans frein tourné vers une corruption des petits esprits menacés d’égorgement en référence au sacrifice qui a aussi été joué, sous le mufle d’un taureau doré : il n’y avait pas que les cocus qui étaient de la fine partie !

 

Ce sinistre spectacle fut donc clôturé par le Schtroumpf Bacchus alangui sur un plateau d’argent sale et de fruits déconfits, le pipeau luttant contre la moule du bout chaud et les cymbales du capitaine Flam.

 

Pour celles et ceux qui suivent mes aventures, il y a quelques mois, peut-être par prémonition, j’avais vu un homme en bleu sur un tracteur carnavalesque dans le village de mes parents.

 

Dans cette toile d’un peintre pompier, malgré les deux colonnes de l’inclusion grand-guignolesque, j’ai versé ma larmoyante plainte de Calimero devant l’absence de l’homme-chien, de la femme-cheval et de la clique des personnes xénogenres débridés ; heureusement, le peuple des moutons était sur les bords de l’Achéron ou au pied de sa télé, miroir des eaux de Charon, d’un monde toujours plus stone, avec l’œil au beurre noir et la raie au beurre blanc.

 

Conséquemment, au-delà de tout incident de trique, nous avons observé le jaillissement baleinier, l’échouage burlesque de ce bon Philippe, le bel effet minet, Quatre Anus, pour le romaniser, la Catherinette des bobos endiablés — ô rhum capillaire ayant deux fois 25 ans d’âge ! — en tenue d’Adam décoloré à cause du passage en machine à cash avec un jean denim — lors d’un bain de fioul dépassant les 100 degrés de la connerie climatique sur une plateforme télé(Sa)pphoNique !

 

Terminons cette analyse proctologique par un proverbe paysan échappé du trou normand d'un pétomane andalou : rien ne sert d’encorner le pourceau, il faut enfourcher son prochain, à point, avec le poing levé pour tous les effrayer !

 

 

Stéphane, le 1ᵉʳ août 2024