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Le coq et sa basse-cour...

 

Le coq et sa basse-cour...

 

(Puzzle série 4 - pièces mobiles)

 

 Il était une fois, entre la tétée du veau d’or et le sacrifice de l’agneau de lait, un homme, dont la pilosité abondante faisait pâlir la chauve-souris sur le dos de vampires sociétaux — à la luisante crête de keupon aiguisant des ergots mal léchés — qui terrorisait la toile en s’attaquant à notre San Marco diffusant le verbe du Réel, avec ses mots qui provoquaient des éruptions cutanées, des irritations énergétiques sur la peau de gladiateur d’un chapon Youtubeur !

 

Ainsi, la haine écumante à ses lèvres de ptérodactyle, le grand chef iroquois aboyait comme un Cerbère sur celles et ceux qui semblaient ternir son positivisme légendaire.

 

Alors, notre Don Quichotte infiltra — tel un membre vigoureux de la Ndrangueta — le groupe de San Marco ; avec la ruse d’un renard des sables mouvants, il se grima en livreur de pizza calzone, au chaleureux goût calabrais, grâce à sa chevaleresque équipée de fantassins — ô gloire au Fanta sain qui chie des bulles ! — à son fight club des cinq guidé par la chouette des bohémiens qui campaient dans son cortex de Dieu tout-puissant, animé d’une humilité incandescente prompte à rafraîchir le tube à essai de rats des laboratoires secrets torréfiant sa psyché.

 

Puisque les voies du saigneur, du boucher des Carpates, demeuraient impénétrables, devant notre museau de fouine védique, notre Jupiter tatoué se devait de bouter hors de notre dimension ces renégats, sous la bannière du Beau, du Bon, du Vrai ; lui qui jadis se mesura, avec la hardiesse d’un gorille mazouté, à une horde de fonctionnaires casqués, afin de défendre le donjon de la Bassine de Sainte Soline — dame patronnesse des Opprimés, des Esprits zoomorphes et des eaux du baptême non corrompues par la parole du profane, du pécheur, du païen !

 

Armé d’une verve démiurgique redoutable, notre parangon plénipotentiaire — identique à un pompon sur la Garonne, à une nouille dans le potage du druide — envoyait bouler la Négativité ; et il plantait les graines d’une Humanité empreinte d’un Amour Rayonnant envers son Prochain encore caché sous des monceaux d’étrons venimeux habillés de domination luciférienne et de perversité satanique que l’on retrouvait sur la peau écailleuse des parasites astraux qui hantaient notre planète !

 

Alors, le petit peuple qui entourait ce grand Sachem se mit à prier les anges de l’évolution, les hautes vibrations de Sainte Soline, buvant l’eau salée de son bain de pied, afin de chasser le malin de leurs entrailles, avant l’arrivée de leurs frères galactiques.

 

Par conséquent, ces missionnaires cosmiques de la Résurrection Holographique ne jetèrent pas San Marco aux lions, dans la fosse putride ; mais ils le laissèrent vivre en paix, au milieu des moutons, avant de sermonner le vilain boug en raison de son attitude similaire à celle d’un vieux bouc séculaire ; tout contrit, le triste sire fondit en larmes et il demanda à San Marco de lui accorder le pardon purificateur malgré son comportement bestial : un onctueux cérémonial devant une bonne tasse de café, dont le marc nous révéla, instantanément, sans laideur, que les vaches flatulentes étaient bien gardées par les robots canins de la ferme exohumaine. Ne serait-il pas plus intelligent de partager nos visions plutôt que de nourrir la division au profit des bergers du Jeu de l’oie ?

 

 

 Stéphane, le 5 septembre 2024

 

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Commentaires: 2
  • #1

    Léna (jeudi, 05 septembre 2024 21:05)

    Excellent stephane d avoir defendu notre Marco contre ce crétois haineux

  • #2

    L'Anachronique (jeudi, 05 septembre 2024 21:20)

    Merci du Cœur, chère Lena ! J’ai rejoint MAB, dont la tentative de dialogue intelligent avec cet animal sauvage s’est montrée vaine ; puisque le coq a voulu lui clouer le bec ; alors, ces attaques envers MAB et San Marco, c’était trop ! J’ai donc sorti la plume, afin de titiller ce petit gallinacé coriace et calmer sa fureur de furet ! D’un cœur joueur, Stéphane